Le festival La P’Art Belle branché à l'énergie
100 % renouvelable d'Enercoop pour sa deuxième édition !
Un festival qui donne la part belle aux initiatives engagées et inspirantes du territoire dans un esprit convivial ? La P'Art Belle, festival citoyen écoresponsable et artistique, revient pour sa deuxième édition ! Tout comme la première en 2019, Enercoop alimentera l’événement en énergie renouvelable. Rendez-vous les 31 juillet et 1er août prochains à Sarzeau, en plein cœur du Parc Naturel du Golfe du Morbihan. Venez vivre une expérience de festival inédite pour petits et grands : à travers différentes expressions et des collaborations exclusives, le festival tient à sensibiliser son public à la transformation écologique de façon ludique et concrète. Ateliers, tables rondes, projections, jeux, théâtre, danse… et concerts évidement : demandez le programme ! Les détails avec Louise, fondatrice de La P'Art Belle.
Présentez-nous le festival en quelques mots !
La P’Art Belle est un festival éco-citoyen qui se déroule au sein du magnifique parc du domaine de Kerlevenan, à Sarzeau, sur la Presqu’île de Rhuys (Morbihan). Nous expérimentons de nouvelles façons de produire des événements pour en limiter l’empreinte écologique (enceintes solaires, réduction du plastique à usage unique, scénographie éco-conçue, etc.) et nous donnons la part belle à celles et ceux qui se mobilisent chaque jour sur leur territoire autour des enjeux environnementaux et sociétaux !
Pouvez-vous nous parler de vos engagements ?
Depuis 2019, nous nous engageons à construire un événement à taille humaine avec une jauge réfléchie (en temps normal, 1500 personnes par jour). Sur chaque poste de l’événement, nous tentons de trouver une alternative en coopération avec des acteurs et actrices du territoire. Par exemple, sur la décoration ou encore la vaisselle, nous collaborons avec des ressourceries comme L’Effet Papillon, basée à Baud (56). Cela nous permet de limiter nos déchets. En 2019, grâce au soutien de cette ressourcerie et à Emmaüs Vannes, nous avons divisé par deux le nombre de déchets générés sur un festival, avec seulement 15 kilos de plastique à usage unique !
Nous dessinons également une programmation ludique, artistique et accessible au plus grand nombre afin que chacun·e puisse se sentir concerné·e par les thématiques abordées autour de l’environnement, de l’alimentation, de la sur-consommation. Nous voulons montrer qu’il est possible de changer ses habitudes et que nous pouvons y prendre plaisir ! L’Art est un bel outil pour transmettre et ramener du beau dans nos sociétés.
En quoi cette deuxième édition a-t-elle évolué ?
Nous avons dessiné une programmation multi-forme avec des concerts, de la danse, du théâtre, des ateliers, des tables-rondes… afin qu’il puisse toucher un large public !
Nous avons également embarqué dans l’aventure La P’Art Belle de nombreux partenaires bretons avec qui nous avons créé un Village découverte qui accueillera de nombreux ateliers et rencontres autour de l’alimentation.
Vous pourrez également y trouver une librairie éphémère mise en place par La mouette à la page, librairie sarzeautine. La scénographie sera éco-conçue par un collectif d’architectes Le presse cervelle et nous mobiliserons les citoyen·nes en proposant un chantier participatif quelques jours avant le festival !
Vous faites à nouveau confiance à Enercoop pour vos besoins en électricité. En quoi cela fait sens pour vous ?
Nous sommes très attentifs à la cohérence du projet. Avec l’équipe, il nous semble important de sensibiliser également nos publics par l’exemple. Faire de nouveau appel à Enercoop était une évidence. Nous nous rejoignons sur plusieurs engagements ! De plus, nous avons pu faire évoluer notre partenariat. Enercoop nous permet cette année de proposer des enceintes solaires avec l’entreprise rennaise evenTerra sur notre espace scénique. Nous pourrons ainsi commencer ensemble à réduire notre consommation énergétique sur la partie technique et artistique.
Quelque chose à ajouter ?
Avec l’équipe, nous avons hâte de partager ce moment collectif. Nous en avons tous et toutes besoin ! Le secteur culturel peut permettre de vivre des transitions environnementales et sociétales ludiques et enthousiasmantes. N’hésitons pas à en abuser !